Un film de Clémence Ancelin
Tourné dans un Centre Educatif Fermé, "Le cri est toujours le début d’un chant " accompagne neuf garçons dont la loi empêche de montrer le visage. Lorsque ces terribles et dangereux "délinquants" se fabriquent des masques afin de pouvoir prendre la parole dans un film, ils se révèlent doux, drôles, poètes ou philosophes et offrent une réflexion profonde et sensible sur la justice et l’incarcération des mineurs.